jeudi 17 novembre 2016

La porcelaine


































En 1767, dans les environs de Limoges, le chirurgien Jean-Baptiste Darnet signale à un apothicaire l'existence d'une terre blanche utilisée par les domestiques pour faire la lessive. Elle provient d'un gisement de kaolins - des argiles friables et réfractaires, matière première de la porcelaine - le premier découvert en France. Deux ans plus tard, Louis XV s'empresse d'acheter ce gisement et fait de la production de porcelaine « dure " un privilège royal (La porcelaine dite « tendre " est d'origine chinoise). En 1848, Limoges compte déjà une vingtaine de manufactures et dix-sept ateliers de décors. « Ne soyons pas trop cocardiers, mais si on fabrique aujourd'hui de la porcelaine dans le monde entier, les producteurs français sont porteurs d'une tradition ancrée dans plus de deux cents ans d'histoire. Limoges, Sarreguemines, Gien, Sèvres... sont autant de villes au nom indissociable de la belle porcelaine ", rappelle Ophélie Tailly, secrétaire générale de la Chambre professionnelle de la porcelaine, poterie, faïence (CPPPF). Bernardaud, Haviland, Raynaud, Royal Limoges, parmi les maisons plus connues, témoignent de ce savoir-faire... Preuve de cette excellence, 70% des porcelaines « made in France » sont exportées. « Ces produits sont associés à l'imaginaire gastronomique de notre pays. Les grands chefs du monde entier sont de formidables prescripteurs ", poursuit Ophélie Tailly.












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Les arts de la table durant la période médiévale (le XIVe siècle, naissance des «arts de la table»)

 Sur cette longue période de dix siècles, ce sont les XIVe et XVe siècles qui sont les mieux connus en raison de l’iconographie particulièrement abondante et des découvertes archéologiques qui permettent d’identifier les particularités régionales. A table, chacun se sert dans le plat collectif disposé au centre de la table. L’utilisation de gobelets en verre est fréquente —ils disparaîtront au cours de la période— tout comme les couteaux et les cuillères qui seront utilisés pour se servir pendant tout le Moyen Âge. A partir de l’an Mil, la table est rectangulaire et n’est occupée que sur trois côtés. Il s’agit d’une planche posée sur des tréteaux, d’où provient l’expression «dresser la table», recouverte d’une nappe. A partir du XIIIe siècle, les textes abondent en description des usages à table, énonçant les règles de propreté avant de manger et pendant le repas (ne pas tremper la viande dans la salière, ne pas boire la bouche pleine...).

Fiche N°4
http://www.sevresciteceramique.fr



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La table royale

Recouverte d'une nappe en damas de lin à double bordure aux armes de France, elle est dressée pour six couverts. Sous Louis XIV, elle était ornée d'un exceptionnel mobilier d'argent dont il ne reste... rien. En 1689, pour couvrir les frais de la guerre de Dévolution d'Espagne, le roi fit fondre tous les meubles et pièces en argent des grands appartements et de la galerie des Glaces. Cela représentait 20 tonnes d'argent. Quant au service réalisé vers 1740 par l'orfèvre Robert Joseph Auguste pour la cour de France, il a lui aussi été fondu à la Révolution. Mais le Louvre a prêté à Versailles des pièces du service d'argent de l'Electeur de Hanovre, futur George III d'Angleterre, dont le style et les formes sont très proches et qui est lui aussi de l'orfèvre Auguste. Désormais, l'antichambre du Grand Couvert évoque à nouveau ce moment fastueux de la vie de cour qu'était le repas public du roi.


La table, toujours durant la période médiévale:

On retrouve la même typologie d’objets, écuelles, coupes, gobelets, pichets, cruches mais avec une plus grande diversité de formes notamment pour les récipients à boire. Les mets sont présentés dans les écuelles, posées au centre de la table, et dans lesquelles les convives se servent. Les aliments sont ensuite déposés sur des tranchoirs, c’est-à-dire de grandes tranches de pain rassis ou séché faisant office d’assiette, longtemps partagés par plusieurs personnes.





La Faïence


Au XVIe siècle, il éxiste deux types de faïence;
La vaisselle en faïence et la majolique (La la majolique orne principalement les tables des princes), et La vaisselle en terre vernissée et en grès (La vaisselle en terre vernissée orne principalement les tables des princes et des classes aisées aux XVIe et XVIIe siècles. Plusieurs lieux de production sont connus, notamment ceux de Saintonge et du Beauvaisis.)

Fiche N°9
http://www.sevresciteceramique.fr



* La venue de la porcelaine

Si la fabrication de la porcelaine remonte au IXe siècle en Chine, les Européens ne la découvrent qu’au XVIe siècle, lors des premiers contacts avec l’Extrême-Orient et del’établissement d’échanges commerciaux avec le continent asiatique. De manière générale, l’Asie exerce sur les Européens une réelle fascination, mélange d’attirance et de crainte. Les produits tels que les laques, les étoffes et bien sûr les porcelaines rapportées de ces terres lointaines par bateaux entiers, suscitent rapidement passion et goût de la collection dans les cours royales puis princières. Potiers et alchimistes



* L'Apothicaire BOTTGER inventeur de la porcelaine 

 Peu de gens se doutent de ce que ce soit à un pharmacien eiu'on doive l'utilisation et même la découverte du kaolin en Europe et par suite tous les progrès réalisés dans la céramique par la fabrication de la porcelaine, depuis le début du xvmc siècle; de cette porcelaine d'abord rouge puis blanche et dont seuls les Chinois conservaient jusqu'alors le secret. Or, il advint, en effet, que le 5 février lf>85 naquit, à Schleiz, dans la principauté de Reuss, et dans le ménage du Directeur des Monnaies des Comtes de Reuss, nommé Bottger, un enfant qui semblait prédestiné aux recherches de la pierre philosophais et qu'on appelait là-bas un enfant du dimanche, parce que son père s'était fort consacré à l'alchimie. Or, cet enfant fut placé, dès son jeune âge, chez un pharmacien, de Berlin nommé Zorn. Là, il s'initia aux recherches de l'alchimie et apprit même du moine Lascaris l'art de faire de l'or. En ayant, parait-il, créé quelques parcelles, sa renommée parvint jusqu'au roi Frédéric 1er qui, soucieux d.e conserver d'ans ses Etats un si précieux serviteur, l'y fit retenir de force.

http://www.persee.fr

La poterie 
http://www.alienor.org/publications/poterie/










Le trianon de porcelaine, construit par Louis XIV à Versailles





Le Trianon de porcelaine Ce trianon est le premier édifice construit, en 1670, sur ordre de Louis XIV, sur l'emplacement du village de Trianon. À mi-chemin entre un château et une fabrique de jardin, l'édifice est un ensemble de constructions légères, à ossature de bois, revêtues de carreaux de céramique (d'où le nom de « Trianon de porcelaine »), qui sont consacrées aux collations du roi. Cette construction éphémère ne résista pas aux intempéries et fut détruite en 1687 pour être remplacée par le Grand Trianon. Le Trianon de Porcelaine est un lieu réservé aux collations et est composé de cinq pavillons. Le pavillon central est destiné à la détente du roi, les quatre autres pavillons, qui entourent la cour, sont affectés à la préparation des plaisirs culinaires du roi. Un dispositif, que nous appellerions aujourd'hui barbecue, a été installé dans l'une des cours.Le chantier, qui se déroule en 1670-1671, est confié au premier architecte du roi Louis Le Vau. Sur les plans dressés par celui-ci, François d'Orbay bâtit une série de cinq pavillons aux façades recouvertes de carreaux de faïence bleue et blanche dite « à la chinoise ». La mode est en effet inspirée des narrations des missionnaires de Chine et d'Inde sur la fameuse tour de Nankin, qui passe alors pour la huitième merveille du monde. À défaut de porcelaine, on fait produire des carreaux de faïence dans les manufactures de Hollande, de Rouen, de Nevers, de Lisieux ou de Saint-Clément, comme plus tard les cache-pots du Hameau de la Reine2. Quelques carreaux jaune pâle ou vert clair animent le décor et des vases en faïence, décorés d'épis dorés, d'amours chassant ou d'oiseaux, garnissent le faîtage du bâtiment. Ces ornements sont d'ailleurs issus d'une seconde phase de décoration entre 1672 et 1674. Le château est meublé à la "Chinoise".


Le nom de Trianon vient d’un petit village du Moyen Âge que Louis XIV rachète et rase en 1668 pour l’englober dans son domaine de Versailles, afin d’y aménager des jardins. Rapidement fasciné par ce lieu où il aime à se promener, le Roi charge l’architecte Louis Le Vau d’y édifier un petit château en l’honneur de sa maîtresse, la marquise de Montespan. Le raffinement de la construction a tôt fait d’éblouir les contemporains. De style baroque, le pavillon central ainsi que ses quatre petits pavillons secondaires sont revêtus de faïence blanche et bleue et ornés de sculptures multicolores, elles aussi en faïence. Cette délicate harmonie de couleurs se retrouve également dans le décor intérieur et jusque dans les jardins où margelles et fonds des bassins sont recouverts du même matériau. Ces ornements de fantaisie valent rapidement au petit château l’appellation de « Trianon de porcelaine ».



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La porcelaine de Chantilly 
Elle est dite « porcelaine tendre » c’est-à-dire sans kaolin (elle est donc plus fragile et se raye plus facilement). En effet, les premiers gisements de kaolin ne seront découverts en France qu’à la fin des années 1760. En attendant, les manufactures françaises doivent innover à partir des ressources naturelles présentes dans leurs sous-sols, d’où des recettes sensiblement différentes suivant les fabricants.





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Sèvres

La Manufacture de Sèvres
Sur les rives de la Seine, entre Saint Cloud et l’ile Seguin, la cité de la céramique de Sèvres ouvre aux visiteurs les portes d’un monde de feu où sont fabriqués les chefs-d’œuvre du savoir-faire porcelainier français. Les ateliers de la célèbre manufacture royale achetée en 1759 par Louis XV, n’embellissent pas seulement depuis plus de deux siècles les tables diplomatiques et les palais des monarchies d’Europe : ils collaborent avant tout avec les grands artistes de leur temps. De François Boucher à Vivant Denon, de Jean-Baptiste Carpeaux à Pierre Soulages, en passant par Emile-Jacques Ruhlmann, les plus grands noms de l’art se sont succédés dans ce haut lieu de l’expérimentation et de la création contemporaine.

La Manufacture représente en Europe le dernier outil de production qui allie la logique de service public (transmission des savoir-faire, conservation de collections d’études, édition d’un patrimoine de formes et de décors, soutien à la création contemporaine au travers d’une politique d’invitation et de résidence d'artistes) à celle de production céramique dans la filière des métiers d’art (avec ses enjeux économiques et commerciaux). Conservatoire exceptionnel de savoir-faire et d’un patrimoine unique hérité de plus de 250 ans d’histoire, animée par l’implication et le professionnalisme reconnu de l’ensemble de ses ateliers de production, elle a ainsi accéléré son ressourcement et l’inscription dans son temps par l’invitation sans précédent d’artistes, designers, architectes et créateurs.



La sculpture à Sèvres

Raconter l’histoire de la sculpture à Sèvres, de la création de la Manufacture par la volonté de Louis XV et de Madame de Pompadour jusqu’à la période révolutionnaire, permet de dévoiler tour à tour l’excellence du goût des élites de l’Ancien Régime pour la perfection des objets d’art et l’explosion d’une thématique nourrie par le siècle des Lumières. La sculpture à Sèvres relève d'un processus minutieux partant d'un modèle en terre pour aboutir au biscuit de porcelaine. La surface de porcelaine, non émaillée mais polie, permet ainsi de rivaliser le marbre. Le biscuit de porcelaine, inventé par la Manufacture vers 1752, connait immédiatement un immense succès et concurrence la production venant de Chine, puis celle de sa grand rivale saxonne, la Manufacture de Meissen.

http://www.sevresciteceramique.fr/site.php?type=P&id=795



La Manufacture de Vincennes

Au milieu du XVIIIe siècle, l'industrie est encore pratiquement inexistante à Paris et dans ses environs. Elle n'apparaît vraiment, et encore de façon très limitée, qu'après 1775. À l'est de Paris, seules existent une raffinerie de sucre à Bercy, dans les parages du château, et une manufacture de porcelaine à Belleville. Les essais d'industrialisation dont le château de Vincennes est le siège sont donc fort classiques, mais précoces par rapport à ce que l'on connaît ailleurs autour de Paris. Le roi n'ayant plus l'usage du château et s'intéressant en même temps à certaines activités industrielles, il est normal qu'il y autorise l'implantation de manufactures. Une fabrique de porcelaine est installée en 1740 dans la tour du Diable, puis au rez-de-chaussée et dans les anciennes cuisines du pavillon de la Reine, du côté de la tour de la Surintendance, avant de s'agrandir en 1745 en passant dans le manège couvert situé dans la grande cour au nord des fossés du donjon. Elle émigre finalement en octobre 1756 à Sèvres après que le roi, en 1753, a pris un tiers de ses actions. Les productions de cette manufacture, d'une très haute qualité à partir de 1748, se trouvent actuellement dans les plus grands musées de France et de l'étranger.




Le transfert de la manufacture de Vincennes vers Sèvres

Dans le courant du mois d’août 1756, la vie des habitants de Sèvres fut bouleversée par l’arrivée des deux cents ouvriers de la manufacture royale de porcelaine, venus de Vincennes avec leurs familles. Cette arrivée massive n’était pas une surprise puisque les travaux du nouveau bâtiment avaient débuté dès l’achat du terrain, en 1752, employant nombre d’ouvriers locaux. Le chef des fours, Robert Millot, était venu habiter sur place quelques mois à l’avance pour surveiller la construction des nouveaux fours. Enfin, cent quatre-vingt-six voitures avaient été nécessaires pour transporter les « effets et ustensiles », ce qui avait forcément pris du temps.

http://www.archivesdefrance.culture.gouv.fr




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Musée Lorrain, Nancy
Palais des Ducs de Lorraine

Le Musée lorrain possède vingt-quatre pièces d’un service en faïence aux armes du duc Léopold et de son épouse Élisabeth-Charlotte d’Orléans. D’autres éléments du même ensemble sont conservés aujourd’hui au musée des arts décoratifs de Strasbourg, au musée national Adrien Dubouché de Limoges, au musée de Lunéville ainsi qu’en collections particulières. L’essentiel est attribué à la production de Moustiers, même si plusieurs pièces ont été réassorties plus tardivement par Joseph Hannong à Strasbourg. Par la diversité de ses formes, il illustre la diffusion du service à la française, défini par l’arrivée sur la table de nombreux plats en vagues successives, tous disposés selon un ordre et une symétrie étudiés, de façon à permettre aux convives de se servir eux-mêmes.




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La manufacture royale de Bernardaud

Intégrée au groupe Bernardaud depuis 1986, l’Ancienne Manufacture Royale est, à elle seule, un petit morceau d’histoire de France. En rééditant à l’identique des pièces originales des XVIIIe et XIXe siècles conservées dans des musées, Bernardaud contribue à la préservation d’un savoir-faire associé à un patrimoine extrêmement riche, tout en mettant en valeur les trésors de manufactures françaises aujourd’hui disparues. Fondée en 1737, elle est la première fabrique à apposer l’estampille ‘‘Limoges’’ sur ses produits. À la découverte du kaolin en 1768, elle est placée en 1774 par Louis XVI sous la protection de son frère le comte d’Artois et futur Charles X, puis incorporée en 1784 à la manufacture de Sèvres qui estime judicieux de posséder un établissement situé près des sources d’approvisionnement des matières premières. Elle préserve et transmet son savoir-faire au fil des siècles, à travers des générations d’artisans et d’artistes.




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La porcelaine de Limoges

La porcelaine de Limoges naît en 1771 grâce à la présence des ressources naturelles nécessaires à sa fabrication (eau, minéraux granitiques, kaolin, bois utilisé comme combustible) et à la volonté de l’Intendant Turgot. Elle connaît son âge d’or industriel et une expansion artistique formidable au XIXè siècle qui voit les débuts de fabriques prestigieuses : Haviland, Guérin, Pouyat, Bernardaud, Tharaud, Alluaud, Lanternier, GDA…




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La Cristallerie Royale de Champagne

la Cristallerie Royale de Champagne continue, près de 350 ans après sa création, de fabriquer un cristal d’un raffinement et d’une élégance inégalée. Présentation d’une maison emblématique et notre coup de cœur de la semaine. 335 ans : c’est l’âge de la Cristallerie Royale de Champagne, installée à Bayel, dans l’Aube, et fondée sous le règne de Louis XIV. Jean-Baptiste Colbert, l’un des principaux ministres du roi et grand développeur des manufactures du siècle, encourage alors l’installation en France des artisans maîtres verriers originaires de Murano, où l’art du verre est roi.
Bayel, village champenois, situé dans l'est du département de l'Aube, au carrefour de la Lorraine et de la Bourgogne, connaît le verre depuis l’année 1300. C'est en 1678 que Jean-Baptiste Mazzolay, maître verrier vénitien, y créa une verrerie sous l'égide des religieux de Clairvaux, alors propriétaire des lieux. Le roi Louis XIV donne à la " Manufacture Royale en cristaux de Bayel " ses lettres de noblesse grâce à l'exclusivité de la production et de la vente entre Chaumont et Paris. Jusqu'à présent la Manufacture devenue " Cristallerie Royale de Champagne " accueille chaque année des milliers de visiteurs. La cristallerie Royale de Champagne-Bayel est l'une des plus anciennes manufactures françaises de cristal soufflé bouche. Cette cristallerie de réputation mondiale n'a jamais éteint ses fours depuis le XVIIème Siècle.





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La porcelaine a été importée de chine au XVIe siècle en Europe, l'appelation et le procédé porcelaine ne peut-être employée que si elle a été produite dans une de ses catégorie;

Porcelaine de Bayeux 
Porcelaine de Bordeaux
Porcelaine de Caen 
Porcelaine de Chantilly 
Porcelaine d'Isigny 
Porcelaine de Lille 
Porcelaine de Limoges entre 
Porcelaine de Niderviller
Porcelaine de Saint-Amand-les-Eaux 
Porcelaine de Sèvres
Porcelaine de Sologne, Groupe Deshoulières
Porcelaine de Valentine 
Porcelaine de Valognes 
Porcelaine de Vincennes
Porcelaine de Chartres-sur-Cher



 En savoir plus sur  http://www.lesechos.fr/01/10/2014/lesechos.fr/0203800181246_la-porcelaine--exception-francaise.htm#pPUZs3hyb5r6dxQs.99




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Les table royales à Versailles


La porcelaine



Une expo, la fabrication du bijou


Des pièces de musées à voir en 3D, étonnant


Le trésor de Pouilly sur Meuse
Il s'agit d'un ensemble exceptionnel comprend 31 pièces exécutées par des orfèvres de Paris, Châlons-en-Champagne, Reims et Strasbourg, entre 1480 et 1570.


Les cadeaux des rois, de la porcelaine













* Les minis-expo




La table royale Assyrienne
http://archeologie.culture.fr/khorsabad/fr/table-royale




Les fréres Humboldt
https://explore.univ-psl.fr






Le canal du midi, Saint-Ferréol
http://patrimoines.midipyrenees.fr




Collection artistique à Bordeaux, les moulages
http://patrimoine-artistique.u-bordeaux3.fr




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* Une succession d'images d'art, dessin, peinture

https://www.google.com


























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